Sinfonietta, Night Creature, Vespertine
Ballet

Date
- Apr 7, 2017 à 8:00 PM
- Apr 8, 2017 à 8:00 PM
- Apr 9, 2017 à 3:00 PM
- Apr 13, 2017 à 8:00 PM
- Apr 14, 2017 à 8:00 PM
- Apr 15, 2017 à 8:00 PM
Duration
2h env.
Tariffs
de 8€ à 23€
étudiants 5€
PHOTO : © Dominique Jaussein
SINFONIETTA
Chorégraphie Jiří Kylián
Musique Leoš Janáček
Lumières Kees Tjebbe
Décors et costumes Walter Kobbe
[Durée 24 mn]
En 1978, Sinfonietta fut acclamée par un public déchaîné, hurlant debout sur les fauteuils, et faisant voltiger les programmes. Depuis ce fameux soir, le ballet est devenu un pilier du Nederlands Dans Theater et a participé à la consécration du chorégraphe tchèque dans le monde entier.
L’introduction de Sinfonietta est inoubliable. Les danseurs n’entrent pas sur scène : ils font irruption. Ils jaillissent au moment où les cuivres explosent et transmettent, en quelques pas, une sensation d’énergie pure.
VESPERTINE
Chorégraphie Liam Scarlett
Musique Arcangelo Corelli
Arrangements Bjarte Eike
Lumières Michael Hulls
[Durée 32 mn]
Depuis cinq années, Liam Scarlett, chorégraphe émergeant, est sollicité par de prestigieuses compagnies telles que le Royal Ballet, le San Francisco Ballet, l’American Ballet Theater ou encore le Norwegian National Ballet où Vespertine a vu le jour. Sa venue au Ballet Nice Méditerranée est l’occasion unique de découvrir le talent de cet artiste si prometteur. Avec Vespertine, le public pourra voir comment Liam Scarlett s’est approprié l’univers chatoyant de la musique baroque pour en retranscrire tous les contrastes et les raffinements.
NIGHT CREATURE
Chorégraphie Alvin Ailey
Musique Duke Ellington
Lumières Chenault Spence
[Durée 17 mn]
Alvin Ailey était considéré par le Congrès lui-même comme un ambassadeur vital de la culture américaine. L’esprit qui traverse cette pièce nous propulse au cœur d’un fragment d’histoire, toujours trépidante, du nouveau continent. Quel est-il ? Celui de la culture afro-américaine en prise directe avec les lumières de la ville qui ne dort jamais. Night Creature célèbre, comme son nom l’indique, les êtres nocturnes qui peuplent l’univers électrique des boîtes de nuit new-yorkaise, sur une musique de Duke Ellington, autre géant de la nuit américaine.